>> POUR NE PAS hypothéquer LA POUSSE PRINTANIÈRE DES PRAIRIES POUR LE RESTE DE L'ANNEE
Justine a à cour de valoriser l’ensemble de son parcellaire (prairies temporaires, prairies naturelles, landes et bois) et de réhabiliter des espaces embroussaillés grâce au pâturage de ses animaux. « Chaque type d’herbe est intéressant à un moment de l’année ». Elle conduit ses 250 brebis en trois lots pour vendre des agneaux toute l'année. Elle apprécie être autonome en fourrages. Néanmoins, pendant 3 ans de suite, elle a dû acheter du foin et a constaté une baisse de productivité sur les prairies affectées au printemps. Elle a donc ajusté ses pratiques pour aujourd’hui être à nouveau en autonomie fourragère.
Consolider et sécuriser un agnealge en plein air intégral Ferme de Carole Cugny
Carole, récemment installée, se questionne sur l’effectif animal de sa ferme. Aujourd’hui, les surfaces qu’elle valorise avec son troupeau lui permettent de boucler son calendrier fourrager mais sans marges de sécurité. Or, pour améliorer la rentabilité de sa ferme (économie, travail, etc.), elle souhaiterait augmenter son cheptel. Elle recherche ainsi des solutions techniques pour consolider et sécuriser le calendrier de pâturage de son troupeau en plein air intégral.
Programmer de nouvelles modalités parcellaires de pâturage La ferme de Dovezet
>> POUR MAÎTRISER LE PRUNELLIER AVEC DES VACHES LAITIÈRES
La ferme du Dovezet est actuellement en cours de restructuration : départ en retraite de deux associés, vente et reprise de foncier. Les éleveurs sont en pleine phase de réflexion sur les évolutions à mener dans le système pour répondre aux nouveaux enjeux. Lors de visites en février et mars 2021, Rémi se questionne sur la réorganisation du pâturage des vaches et des génisses et plus spécifiquement sur la maîtrise de l’embroussaillement.
Assurer un temps de finition des boeaufs au pâturage suffisant (4 mois) EARL des Mets dessus
>> EN SÉCURISANT UNE RESSOURCE DE QUALITÉ AU PÂTURAGE DU DÉBUT DE PRINTEMPS AU DÉBUT D’ÉTÉ et EN S’APPUYANT SUR LES QUALITÉS AGROÉCOLOGIQUES DES VÉGÉTATIONS NATURELLES
Fort d’une longue expérience, Guillaume est un spécialiste de la culture en Agriculture Biologique de nombreuses sortes de céréales et autres plantes comme les lentilles pour la consommation humaine. Depuis 6 ans, il s’est engagé et passionné à produire des bœufs finis à l’herbe pour assurer au client une viande de très bonne qualité, qui participe au maintien de prairies sur le territoire et provenant d’animaux peu stressés.
Maintenir toute l'année un bon état de santé et un bon niveau de production laitière des vaches GAEC de la Suize
>> EN PÂTURANT AU MAXIMUM ET EN RÉDUISANT LA DISTRIBUTION DE CONCENTRÉS et EN S’APPUYANT SUR LES QUALITÉS AGROÉCOLOGIQUES DES VÉGÉTATIONS NATURELLES
Avec le départ à la retraite imminent de sa mère, Angéline va devenir la seule cheffe d’exploitation sur la ferme. Ses intentions pour la suite sont claires : continuer à nourrir ses vaches uniquement avec de l’herbe (récoltée ou non) et maximiser le pâturage. Car dans sa vision des choses, ces pratiques apportent du bien-être et la santé aux animaux et de la qualité au travail et au lait. Pour elle, l’herbe doit pousser toute seule. A terme, l’éleveuse aimerait transformer une partie du lait pour renouer le lien avec les consommateurs et s’extirper au maximum des grands groupes intermédiaires.
S'appuyer sur l'hétérogénéité d'un parcellaire GAEC La Barge
>> POUR CONSTRUIRE L'ALIMENTATION ANNUELLE AU PÂTURAGE DES VACHES ALLAITANTES ET DE LEURS VEAUX TOUT EN RESPECTANT LES ENJEUX "OISEAUX"
Depuis quinze ans, Frédéric et Ludivine élèvent des vaches allaitantes de race Maraîchine sur 170 ha de prairies naturelles de marais. Le GAEC La Barge a été créé dans l’idée de marier enjeux écologiques et agricoles au sein d’une même structure. Aujourd’hui, les éleveurs sont satisfaits de l’activité de la ferme. Elle participe au maintien d’une race locale, répond à des enjeux écologiques pertinents pour le territoire et assure un dynamisme agricole au plus près des consommateurs.
Réussir la vente des broutards à l'herbe tout en facilitant le travail EARL Deram
Bernard et Fabienne nous expliquent comment ils ont modifié leurs pratiques pour mieux faire rencontrer les besoins des lots d’animaux avec la végétation disponible au cours des saisons. Cette expérience a été suivie dans le cadre du collectif d’éleveurs du marais audomarois animé par la Communauté d’Agglo du Pays de Saint Omer et la Chambre d’Agriculture du Nord Pas de Calais, pour mieux valoriser l’herbe au pâturage sur sa ferme avec la démarche Pâtur’Ajuste.