Département d'Ariège - Bovins laitiers et allaitants
Avec la passion de l’élevage et du fromage chevillée au corps et avec un double objectif général d’être heureux dans son travail et de perfectionner ce qu’il fait, Bert-Jan a mis en place une spécificité supplémentaire de sa ferme depuis 2016 et l’installation de sa nouvelle associée : « on garde tout le monde » ! Et cela depuis quelques années… Un nouveau cap dans sa vie et dans celle de la ferme.
Faire revenir naturellement un couvert herbacé Ferme des Cornouilles
Des anciennes cultures sur sol séchant ont été transformées en pâturage pour les cochons ou les bovins. Hugues et Jennifer ont cherché à accompagner la nature en laissant s’installer progressivement la flore spontanée. Ils ont choisi cette voie car ils avaient remarqué que l’herbe qui revenait naturellement était plus robuste qu’un jeune couvert semé.
FAIRE REVENIR DE L’HERBE SUR UNE ANCIENNE CULTURE DE MELON Ferme de Darius Filipiak
Objet de ce retour d’expérience PRÉSENTER UNE EXPÉRIMENTATION METTANT EN AVANT LE PÂTURAGE POUR FAIRE RÉGRESSER DES PLANTES NON FOURRAGÈRES SUR UNE ANCIENNE PARCELLE CULTIVÉE ET ACCOMPAGNER LE RETOUR D’UN COUVERT HERBACÉ FOURRAGER >> en comprenant les processus écologiques en jeu et en approfondissant les observations saisonnières de la végétation.
Réussir la vente des broutards à l'herbe tout en facilitant le travail EARL Deram
Bernard et Fabienne nous expliquent comment ils ont modifié leurs pratiques pour mieux faire rencontrer les besoins des lots d’animaux avec la végétation disponible au cours des saisons. Cette expérience a été suivie dans le cadre du collectif d’éleveurs du marais audomarois animé par la Communauté d’Agglo du Pays de Saint Omer et la Chambre d’Agriculture du Nord Pas de Calais, pour mieux valoriser l’herbe au pâturage sur sa ferme avec la démarche Pâtur’Ajuste.
Adapter le nombre de bovins au cours des périodes de pâturage Alexandre Loye
>> POUR PRÉSERVER ET VALORISER UNE GRANDE PARCELLE EN MARAIS
Alexandre présente ici comment il parvient à valoriser et préserver une grande parcelle de marais avec des bovins dans le contexte de sa ferme. Cette expérience a été suivie dans le cadre du collectif d’éleveurs de la Baie de Somme animé par le le Syndicat Mixte Baie de Somme - Grand Littoral Picard et la Chambre d’Agriculture de la Somme, pour mieux valoriser les prairies humides avec la démarche Pâtur’Ajuste.
Passer au pâturage pour réduire sa charge de travail et ses coûts d'alimentation Mathieu Jourjon
Département de l'Ardèche - Caprins lait - Bovins viande - Porcs
Mathieu nous explique comment il a restructuré l’atelier caprin lait sur la ferme, dans l’optique de réduire à la fois les coûts d’alimentation et la charge de travail, en devenant plus pâturant.
La satisfaction au travail ne rime pas nécessairement avec optimisation technici-économique Christophe Monteux
Département de l'Ardèche - Bovins viande - Ovins viande - Caprins
Christophe explique comment ses choix techniques prennent en considération un ensemble d’enjeux. La recherche de plaisir au travail est au cœur de ceux-ci, quitte à assumer de ne viser ni l’optimisation de ses coûts de production, ni la meilleure valorisation commerciale possible. Retour sur les leviers qui lui ont permis d’accéder à un équilibre entre épanouissement au travail, conduite technique des atelier et résultats économiques.
>> POUR RÉDUIRE SA CHARGE DE TRAVAIL ET SES COÛTS DE PRODUCTION
Aurélien aborde comment techniquement il a réussi à faire pâturer une végétation en report sur pied estival par ses vaches laitières en production, et évaluer ensemble les conséquences socio-économiques de cette conduite.
Améliorer la performance socio-économique d'une ferme avicole et ovine Maxime Bacher
>> QUAND L’ATELIER OVIN PÈSE SUR LA CHARGE DE TRAVAIL SANS CONTRIBUER EN CONSÉQUENCE AU REVENU : QUELS LEVIERS TECHNIQUES POUR RETROUVER DE NOUVEAUX ÉQUILIBRES ?
Maxime Bacher raconte l'ensemble des ajustements de la conduite zootechnique et d’alimentation qu'il prévoit de manière à améliorer la performance économique de l’atelier ovin, jusqu’alors peu rentable.
Ajuster ses dates de mise-bas Emmanuel Fayard et Fanny Metrat
>> RÉSULTATS SOCIO-ÉCONOMIQUES ET EFFETS SUR LA COMMERCIALISATION
Emmanuel explique comment il prévoit de faire évoluer leurs périodes de mise-bas pour trouver plus de cohérence entre leur conduite d’alimentation et la disponibilité des ressources pastorales sur la ferme. Nous avons ensemble évalué les conséquences économiques de ces ajustements.